À propos
Une histoire d’amour
La Pachamama Terra Medica est avant tout une histoire d’amour entre un homme et une femme, et la Nature. Nous avons créé ce projet en 2015, suite à un cancer. Notre intention première était de prendre soin de notre santé et de celle de notre entourage en cultivant certaines plantes médicinales ciblées qui nous ont tant aidés à combattre les effets secondaires des chimiothérapies et autres douleurs liées au cancer.
Nos besoins personnels ont très vite rencontrés ceux d’autres personnes en souffrance et notre petite production familiale n’a plus suffi à satisfaire la demande. C’est ainsi qu’en 2017 nous avons pris la décision de poursuivre l’aventure mais à titre professionnel cette fois.
On ne naît pas agriculteur, on le devient.
Sophie, juriste de formation a créé au début des années 2000 « Secrets du Potager », une société de produits haut de gamme dans l’univers du jardinage urbain. Artiste plasticienne par passion, elle s’est ensuite entièrement consacrée à son art.
Dans les années 90, Nicolas, doublement diplômé en sciences économiques et politiques a travaillé en Suisse dans le secteur bancaire. Dix ans plus tard, trop loin de sa vérité, il a quitté
le monde de la finance pour se consacrer à sa passion pour la photographie. Devenu photographe de plateau pour les plus grosses firmes cinématographiques, il a exercé ce métier durant 20 années.
Il n’y a pas
d’âge pour
se (r)éveiller
Malgré un parcours de vie fort semblable, il aura fallu attendre 2013 et un cancer pour unir nos destinées. Pris en charge par la médecine conventionnelle, son lot de chimiothérapies et autres chirurgies, ce sont leurs effets secondaires qui furent les plus difficiles à gérer. Mus par notre amour commun pour la nature, c’est vers une médecine plus naturelle que nous nous sommes appuyés pour soulager ces maux collatéraux.
La révélation
L’approche combinée de ces différentes médecines (conventionnelle et traditionnelle) a été pour nous une véritable révélation :
leur complémentarité a boosté leur efficacité respective, les chimios se sont succédées sans que rien ne les arrêtent plus, l’appétit est revenu, les nausées et autres douleurs se sont considérablement estompées et un bon sommeil retrouvé a fini par nous faire gagner la partie.
L’alimentation comme première médication
Nous le savions bien-sûr mais il aura quand même fallu un ennui de santé sévère pour en prendre pleine conscience et changer nos mauvaises habitudes alimentaires. Les mécanismes d’oxydation de nos cellules, d’acidité excessive, le syndrome du foie gras, le diabète de type II sont autant d’exemples qui illustrent bien les conséquences dramatiques de notre mauvaise alimentation sur notre santé. Alors qu’en mangeant bien (et bon), on peut si facilement les éviter.
Forts de cette expérience personnelle et de toutes les connaissances qui en découlent, nous voulons aujourd’hui les mettre au service de la santé collective, c’est la raison d’être de notre petit bout de ferme aux mille vertus.