Une ferme

Bio et 100% autonome d’herbes médicinales gérée selon les principes de l’agroécologie

Terres vierges et sauvages

Nous sommes les premiers à avoir foulé ces terres vierges et sauvages abandonnées par un berger il y a plus de 50 ans. Aucune empreinte humaine ne racontait l’histoire de ce lieu à l’exception d’une petite bergerie en ruine et d’une oliveraie en friche.

La faune et la flore sauvages du lieu sont à couper le souffle, le coup de foudre fut immédiat.

Problème, le terrain se situe sur les rives du plus grand barrage d’Europe en plein milieu d’une vaste zone strictement protégée par le réseau NATURA 2000. Impossible d’obtenir le moindre permis de bâtir. C’était sans compter sur l’intelligence d’un décideur local qui a compris et adhéré à notre projet. Et qui l’a autorisé.

Conscients d’avoir eu une chance inouïe, nous savons aujourd’hui que nous resterons de grands privilégiés d’avoir pu investir la pureté de ce lieu, c’est pourquoi nous voulons à tout prix le préserver et le partager.

Notre mission

Proposer à la santé humaine toute l’intelligence de la nature.

Prendre soin en âme et conscience de la nature pour qu’elle puisse a son tour prendre soin de la santé de l’homme.

Nos valeurs

Authentiques, puristes, engagés, efficaces, fiables, justes et transparents.

Les terres de la Pachamama

Les terres de la Pachamama se situent sur les rives de l’Alqueva, le plus grand barrage d’Europe en Alentejo au Portugal.

L’Alentejo que l’on surnomme souvent la toscane lusitane étend ses collines ondulées aux villages perchés, ses rivières sauvages, ses forêts de chênes-lièges, ses oliveraies et ses vignes des bords de l’Atlantique jusqu’à l’Espagne.

C’est une région à part, à l’identité bien marquée, une lumière particulière et un rythme propre dans lequel le monde moderne se fait discret.

La nature comme facteur de production

À la Pachamama, c’est par pure conviction que nous pratiquons l’agroécologie, une agriculture durable et respectueuse de la nature.

Ce mode de culture se base sur un facteur clef duquel dépend toute sa philosophie : la nature. Il permet à la fois de diminuer les impacts négatifs de la production et de préserver les ressources naturelles.
En pratique, nous améliorons chaque jour le biotope existant sans jamais l’épuiser ni l’endommager, aucun pesticide ni autres intrants (même bio) ne sont utilisés à la Pachamama Terra Medica, la ferme est entièrement régie par les énergies renouvelables et toute son eau provient de deux puits et du lac, les fertilisants sont produits sur place par nos animaux (ânes et vaches), une attention toute particulière est portée au maintien et à l’amélioration de la biodiversité.

Nous pratiquons également la rotation des cultures pour ne pas épuiser ou éroder les sols ainsi que le compagnonnage qui nous permet notamment de contrôler les nuisibles, jamais nous ne labourons les sols.

Sophie

« La nature m’a tout appris, surtout le bonheur »

Lui être connectée m’a enseigné sagesse, patience et émerveillement de l’instant.
La nature est ma drogue, ma seule religion. Elle a donné un sens à ma vie, a apaisé mes peurs, m’a sauvée de la maladie aussi.

La comprendre, c’est savoir d’où l’on vient et où on va.

Rien ne m’apporte plus de joie et d’apaisement que d’en prendre soin comme elle prend soin de nous. Sa générosité, sa beauté et son intelligence me surprennent tous les jours un peu plus et comble ma soif inextinguible de connaissance.

Nicolas

« Vivre dans la nature était mon rêve d’enfant »

Très jeune déjà je m’occupais des oiseaux, les observer comblait sans doute un désir précoce de liberté. Les sauver donnait un sens à ma vie. La nature a toujours été ma première respiration, ma seule source d’inspiration.

À plusieurs reprises et pour diverses raisons, la routine, souvent économique, a bien essayé de m’en éloigner mais jamais je n’ai lâché, question de survie.

Convaincu que la nature est le seul avenir de mes enfants et de la planète toute entière, je veux consacrer le temps qu’il me reste à lui rendre ce qu’elle nous a toujours offert : La vie.

Léon,
notre boule d’amour !

Léon est le fils de Pépette et Ronron, deux ânes de Miranda, race d’origine portugaise aujourd’hui menacée d’extinction. Léon est né à la fin du mois de mai par une belle nuit de pleine lune sous nos yeux ébahis par tant de beauté et d’émotion. Même s’ils vivent en totale liberté sur nos terres, ils aiment nous suivre dans toutes nos tâches, chaque matin ils viennent à la ferme nous réveiller, chercher des caresses et des carottes et le soir venu, ils se retirent sur la pointe des sabots pour vivre leur vie en famille.

Rosa ou la sobriété heureuse

Une toute petite maison de village et son jardin fleuri. Un puit, un potager, deux citronniers, dix oliviers et une glycine centenaire au pied noueux sous laquelle il faut se baisser pour entrer.

Voilà le monde de Rosa et Joaquim, 92 et 94 ans, doyens de notre tout petit village. Aux heures les moins chaudes de la journée, on les croise souvent sur leurs deux petites chaises fragiles posées à même la rue, ils attendent de voir passer des visages connus et agitent leurs mains en guise de bienvenue, un énorme sourire aux lèvres.

Ce sont eux qui nous ont accueillis les premiers au village. Ils sont devenus nos amis, notre livre ouvert sur le passé laborieux de ces terres et notre mode d’emploi pour une vie d’avenir plus sereine.